Nous avons reçu récemment par l’intermédiaire de notre site www.prestaflex.ch une demande de prêt de la part d’une entreprise qui cherchait à obtenir une somme relativement importante: pas moins de 7’000’000 Chf! Habituellement, ce type de prêt est difficilement réalisable surtout lorsqu’il s’agit de prêt en devises, et nécessite au minimum:
Autrement dit, un tel emprunt, même si accordé, nécessite des démarches administratives souvent laborieuses!
Le cas fut confié à notre spécialiste du financement pour PME, Mr Aslan. Ce dernier a su prendre en charge le dossier de manière efficace et gérer les différents aspects administratifs. Rapidement, notre expert a pu trouver une solution: subdiviser ce gros crédit en emprunt en devises. Autrement dit, la somme totale a été répartie en plusieurs devises, à savoir francs suisses, euros et dollars américains. Au final, le prêt a été subdivisé comme suit:
Une conversion en francs suisses donne un total de près de 7’000’000 de CHF: objectif atteint!
Tout dépendra de l’utilité du prêt. Si l’argent est destiné à faire un achat à l’étranger, il peut être plus avantageux de bénéficier directement des devises étrangères concernées afin d’éviter toute perte liée au change.
Pour une entreprise internationale dont les revenus proviennent de différents pays, et donc différentes devises, il s’agit également d’une sécurité supplémentaire. Même en cas de fluctuation du marché des devises, un taux de change défavorable ne viendra pas pénaliser la société, qui pourra continuer à rembourser son crédit directement grâce à ses entrées en devises étrangères.
Un intermédiaire comme Prestaflex (voir page dédiée aux solutions pour PME), spécialisé dans les solutions financières pour PME, reste la meilleure alternative (prêts en devises). De fait, les banques sont souvent hésitantes à prêter de gros montants aux sociétés, et exigent des garanties importantes ainsi qu’une analyse minutieuse de chaque dossier. Un intermédiaire expérimenté saura prendre les devants et chercher des solutions concrètes afin de garantie non seulement une meilleure chance d’acceptation, mais aussi un meilleur taux d’emprunt.
Finalement, la limite maximale dépend directement de la situation financière et de la taille de l’entreprise demandeuse. Il est difficile de parler de « limite maximale », car un indépendant à son propre compte n’aura vraisemblablement pas la même capacité d’emprunt qu’une multinationale présente dans plusieurs pays. Dans le cas d’entreprises conséquentes, il peut être possible par exemple d’aller jusqu’à des sommes avoisinant 50’000’000 Chf. Pour connaître sa limite maximale, il peut à nouveau être intéressant de s’adresser à un spécialiste qui pourra vous renseigner précisément et donner une limite en fonction de la situation réelle.
Article réalisé par l’équipe de Cashflex MultiCredit Sàrl à Fribourg