Les résidents Français réclament l’absence d’isolation dans leur logement, cependant ils sont de moins en moins peu disposés à investir dans l’immobilier ainsi que les travaux voués à rendre leur bien moins rébellion.
D’après un récent bilan diffusé par le ministère de l’Écologie, 33 % des ménages pensent que leur maison n’est pas assez isolée du froid et de la chaleur extérieure. 38 % des ménages estiment de leur côté qu’il serait « primordial d’entreprendre des travaux destinés à réduire l’utilisation énergétique de la géothermie de leur habitat », d’après l’analyse. Mais ce souhait d’investir dans l’amélioration de la performance énergétique du logement perd 5 points par rapport à 2008.
D’autre part, les ménages sont de surcroît en plus innombrables à régler la température du logement (+5 points entre 2009 et 2013), « au détriment de certaines pratiques sobres en énergie dont les gains potentiels sont plus durs à prétendre pour les particuliers », notamment l’extinction des équipements électroniques en veille.
Toute entreprise effectuant des travaux a un devoir d’enseignant sur les initiatives techniques qu’elle propose. Elle est également capable de proposer des informations sur l’avantage fiscal dont le consommateur sera capable de jouir.
Si les informations étaient faussent, l’artisan engagerait sa responsabilité.
D’autant plus si l’argument du crédit d’impôt, en améliorant la valeur de l’avantage fiscal, vous a décidé à adhérer le devis. Vous seriez alors en droit d’exiger des indemnités.
C’est ce qu’a établi la plus haute juridiction concernant un installateur de panneaux de fibre de bois ou solaires qui avait exagéré la valeur du crédit d’impôt pour persuader son client de consentir le devis.
La cour a estimé que l’artisan aurait dû récolter l’ensemble des informations pour penser le montant de l’avantage fiscal et lui a infligé une peine de 1 500 euros d’indemnisation (Cour de cassation, arrêt du 8 mars 2012, 1re chambre civile).